« Ta tristesse, ta peur, ta solitude, même ton désespoir sont si fragiles, ami.e. Tout cela peut s’ouvrir à n’importe quel moment.
Par la simple note d’un morceau de musique. Le regard bienveillant d’un étranger. La brise printanière sur ton visage. L’ombre d’un oiseau en vol.
À tout moment ta peine peut être réduite à néant ; elle n’a pas plus de réalité que cela, pas plus de substance que l’ombre d’un oiseau.
Plus tu te concentres sur tes peines et tes craintes, plus tu parles d’elles, plus tu les analyses, t’identifies à elles, te plains d’elles, leur résistes, plus elles te semblent « réelles », plus elles apparaissent solides et indépendantes de toi, plus elles semblent avoir de pouvoir sur une entité séparée que tu appelles « toi ».
En cherchant une solution à tes problèmes, tu crées le problème d’ « avoir des problèmes ».
Sois disponible, ami.e, à l’ouverture de ta douleur. Ne présume pas qu’elle durera plus longtemps qu’un moment. Permets l’arrivée et le départ de tout ce qui te trouble, y compris l’idée même du « moi » qui est troublé.
Tout ceci passera, souviens-toi, tout ceci passera. »
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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