
Le mot latin cancer (« crabe, chancre, cancer ») est apparenté au grec καρκινος, karkinos (« écrevisse »).
— Wikipedia
Toujours via la plateforme Wikipedia (1), nous pouvons lire ceci:
« Selon le livre sur la chirurgie du médecin de l’Antiquité, Paul d’Égine, ce nom aurait été donné par Hippocrate, parce que le cancer « a des veines étendues de tous côtés, de même que le crabe a des pieds »: la zone centrale arrondie de certaines tumeurs se prolonge par des ramifications en rayon, comme les pattes de ce crustacé. Paul d’Égine fait également référence à l’adhérence de la tumeur aux tissus voisins en ajoutant que le nom du cancer « lui vient, selon quelques-uns, de ce que quand il s’est emparé d’un organe, il ne le lâche plus, de même que fait le crabe quand il s’est attaché à quelque chose ».
» Le cancer est une maladie provoquée par la transformation de cellules qui deviennent anormales et prolifèrent de façon excessive. Ces cellules déréglées finissent parfois par former une masse qu’on appelle tumeur maligne. Les cellules cancéreuses ont tendance à envahir les tissus voisins et à se détacher de la tumeur initiale. Elles migrent alors par les vaisseaux sanguins et les vaisseaux lymphatiques pour aller former une autre tumeur (métastase). »
Lors de ma dernière chronique (La réciprocité), je vous ai mentionné que je vous entretiendrais d’un sujet que je trouve fort palpitant: la pensée. En lisant ce titre, vous devez croire que je me suis éloigné du sujet, mais pas tant que ça… vous verrez!
Maintenant, et ce pour faire un clin d’oeil au débat stérile qui sévit présentement sur la planète relativement aux mesures sanitaires excessives, je vous propose un jeu de mots ou plutôt, dirais-je, un jeu de maux…
En effet, en me réveillant ce matin, j’ai reçu l’inspiration d’actualiser le deuxième paragraphe de la définition tirée de Wikipedia en modifiant entre autre chose les mots «cancer» par «peur», «cellules» par «pensées», «tumeur» par «paranoïa», etc.
Voici le résultat:
La peur (…) est une maladie provoquée par la transformation de pensées (…) qui deviennent anormales et prolifèrent de façon excessive. Ces pensées (…) déréglées finissent parfois par former une masse qu’on appelle paranoïa (…). Les pensées (…) de peur ont tendance à envahir les ressentis (…) voisins et à se détacher de la paranoïa (…) initiale. Elles migrent alors par les médias de masse commerciaux ou étatiques (…) et les réseaux sociaux (…) pour aller former une autre paranoïa (métastase).
Rigolo, n’est-ce-pas? Ou pas… selon le point de vue!
Sans vouloir offusquer qui que ce soit, et surtout pour éviter de passer pour une personne irresponsable, laissez-moi vous proposer une voie qui me semble juste… une voie qui me semble être une «voie du juste milieu».
Avant toute chose, je tiens à exprimer la tristesse que je ressens lorsque je constate l’ampleur du cancer qui ronge l’esprit de tous mes frères et soeurs qui sont actuellement bernés par la peur qui leur est injectée quotidiennement.
Alors, voici ce que je propose comme «voie du juste milieu» à notre belle humanité: la vigilance!
Permettez-moi de vous expliciter mon raisonnement.
Aux dernières nouvelles, tous les être humains possèdent un cerveau reptilien qui, d’ailleurs, leur est très utile. De quelle manière me direz-vous? Selon ma compréhension, le cerveau reptilien est le gardien de notre intégrité corporelle. Il réagit instinctivement pour protéger le corps d’une quelconque attaque extérieure qui pourrait l’affaiblir, le mutiler ou même le détruire. C’est ce que nous nommons l’instinct de survie et/ou l’instinct de conservation.
Donc, à la lumière de cette constatation, nous pouvons dire que le cerveau reptilien nous induit d’une grande qualité: la vigilance. Il agit en tant que vigile de notre corps et ce, tout à fait gratuitement! Ainsi, au lieu de le maudire et de chercher à s’en départir par des rituels de toutes sortes, nous devrions le remercier pour ses loyaux services!
Mais, il y a toujours un mais…
Qu’arrive-t-il lorsque le cerveau reptilien doit gérer une situation de stress intense… une situation de danger extrême, potentiellement mortelle?
Que cette situation soit réelle ou fictive (implantée psychologiquement) importe peu. Notre cerveau reptilien est alors surstimulé et, je vous le donne dans le mille, c’est l’apparition de la peur! La peur qui alors prolifère de façon anormale, à la manière de cellules cancéreuses, envahissant le corps tout entier et nous paralysant totalement.
Mais, direz-vous, que pouvons-nous faire lorsque la peur s’empare de notre esprit et de notre corps?
RESPIRER!
Calmer son mental est la première chose à faire. Rassurer notre vigile en lui fournissant des preuves concrètes et rationnelles de la présence ou non d’un danger imminent ou potentiel. Puis, négocier un arrangement… une baisse ou une hausse de vigilance, dépendamment de la dangerosité de la situation. Surtout éviter le déni… ou la panique, qui sont toutes deux des réactions émotionnelles, donc irrationnelles, et non recevables pour le cerveau reptilien.
RECONNAÎTRE!
Tel que je le perçoit, la vigilance est donc une caractéristique innée, présente chez tous les êtres humains, et administrée par notre cerveau reptilien. De ce fait, nous n’avons donc pas besoin de faire d’efforts particuliers pour la développer, mais simplement la reconnaître et lui permettre de s’exprimer naturellement.
ACCUEILLIR!
Lorsqu’elle se manifeste, nous devons accueillir la peur; elle fait partie de la nature humaine. Accueillir la peur, c’est accueillir notre humanité. Cela ne veut pas dire y succomber… simplement l’accueillir comme faisant partie de notre expérience actuelle.
Dans le même ordre d’idée, je vous ai déniché un beau petit texte de Claudette Vidal (2) que je trouve fort inspirant, et qui pourrait servir d’exemple pour entamer le dialogue avec votre mental (ici, en référence au cerveau reptilien):
Hommage à mon mental Ô mon mental Toi mon bien-aimé serviteur Tu as été abusivement utilisé par un maître excessif Pardonne-moi ces abus. Dorénavant tu travailleras beaucoup moins, Et dans des conditions favorables. Tu seras interpellé uniquement pour les tâches qui te siéent. Tu pourras te reposer longuement Et profiter de ton ami le silence Que tu as trop peu fréquenté. Je t’ai confié la lourde tâche de me rappeler sans cesse ce que je dois faire De m’aider à réfléchir sur les idées que je voulais élucider Mais surtout, comme un esclave, j’ai exigé de toi que tu travailles sans relâche. Je t’ai donné le lourd mandat de réagir sur tout ce que je vois, entends, goûte et ressens Même quand tu n’avais pas de tâches à effectuer, tu continuais de t’épuiser à travailler Car j’oubliais de te mettre au repos Ou bien, je ne savais pas comment mettre fin à tes activités. Je t’ai demandé de résoudre des problèmes qui ne sont pas de ton ressort Désolée, je ne connaissais pas tes limites Je me suis adressée à la mauvaise enseigne. J’aurais dû savoir que tu n’as pas été créé pour résoudre le mystère de l’existence Faisant toi-même partie de l’existence. J’ai compris que pour ces questions je dois m’adresser à une autre instance Le Créateur lui-même. Malgré Sa gentillesse et Sa disponibilité illimitée Je me suis parfois sentie intimidée à l’idée de l’interpeller Nous nous sommes parlé et je me sens maintenant plus à l’aise de m’adresser à Lui. Désormais, je vais utiliser la voix du cœur Le cœur jouit d’un système de régénération instantané et illimité, Il ne se fatigue donc jamais. Tu t’es épuisé à la tâche sans jamais te plaindre Même fatigué, tu assumais tes responsabilités sans laisser entrevoir ton épuisement. Je continuerai de t’utiliser pour mettre en mots, comprendre ou réfléchir Je ne peux me passer de toi, tu sais. Je serai aussi plus sélective dans le choix dans mes demandes. Bon repos, Ô mon mental ! Jouis de ces nombreux instants de douceur qui t’attendent Et reçois ma gratitude infinie pour ta collaboration plus qu’exceptionnelle. CLAUDETTE VIDAL Source: eveilspirituel.net
Inspirant, n’est-ce pas?
Bref, à mon humble avis, pour conclure le débat stérile qui sévit présentement sur la planète relativement aux mesures sanitaires excessives, nous devrions prendre le temps de discuter tous ensemble et d’envisager la vigilance comme point d’équilibre et «voie du juste milieu». Il ne s’agit donc pas d’ignorer le «danger», mais de le relativiser.
Les statistiques le prouvent (et les statistiques sont des données concrètes et rationnelles): la propension du virus est moindre que prévu, même suite au déconfinement, même suite à des rassemblement de masse importants. C’est une bonne nouvelle! Réjouissons-nous! Tout est là pour réussir à calmer notre mental: finalement, la menace extérieure est beaucoup moins menaçante que prévue!
Simplement, demeurons vigilant et continuons à appliquer les mesures d’hygiène appropriées, soit le lavage des mains, tousser dans son coude, s’isoler si nous sommes malade afin d’éviter de contaminer notre entourage… mais pour le reste, entre autre le port du masque et le confinement total, toutes ces mesures sont superflues voire même nocives et ce, autant pour les individus que pour la communauté.
Des conséquences désastreuses de ces mesures sanitaires excessives sont même déjà visibles dans certaines populations… paranoïa généralisée, augmentation de la violence familiale, du stress… perte d’emploi, faillite, détresse psychologique, tout ceci menant même jusqu’au suicide.
Cher(e)s ami(e)s, fermez votre téléviseur et ouvrez votre coeur! Prenez quelques instants pour y réfléchir; jetez vos masques, allez dehors respirer un bon coup et nourrir vos neurones d’air frais… tout en demeurant vigilant!
Maintenant, qu’en pensez-vous? La peur: un cancer pour l’esprit?
🌹 Andree Boulay ➡️ Facebook: @andreeboulayblogue ➡️ Instagram: @andreeboulayblogue
#amourdesoi #eveilducoeur #beauteinterieure
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(1) Lien Wikipedia sur le sujet «cancer»: https://fr.wikipedia.org/wiki/Cancer
(2) Suivez les travaux de Claudette Vidal via son site web: https://eveilspirituel.net/
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: andreeboulay.ca
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