
Chers amis lecteurs et lectrices,
Ainsi qu’il m’arrive parfois de le faire, en cette approche de Noël j’ai pensé bon de partager avec vous ici ces quelques lignes extraites des «Enseignements premiers du Christ» avec leur commentaire.
En effet, par les temps plus que troubles que nous vivons, c’est essentiellement notre richesse de cœur qui est sollicitée, celle qui ne s’épargne pas et qui demeure totalement étrangère au rétrécissement et à la petitesse boueuse des marécages.
© Daniel Meurois – Extrait des «108 Paroles du Christ»
Voici donc, pour la paix et la force de résilience, sans détours…
« L’âme pure ne calcule pas mais offre sans compter ; l’âme pure ne connaît pas la sinuosité mais offre la transparence ; l’âme qui est pure n’attend jamais l’heure de réciter les prières, elle est toujours la prière qui offre les mains ; elle est toujours les mains qui servent et celles qui reçoivent la Lumière. »(Les Enseignements premiers du Christ – p. 119)
Notre société humaine est, dans son ensemble, essentiellement axée sur les principes du commerce. On y mesure, on y quantifie, on y marchande… tout cela dans l’espoir de quelque profit. Cela peut être concevable sinon difficilement évitable au sein même du monde matériel, au «royaume de César» comme aurait dit Jeshua.
Le problème c’est lorsqu’un tel mode de fonctionnement s’empare aussi de l’âme humaine.
Une âme qui a conscience d’elle-même ne saurait être comptable. Elle ne calcule pas, elle ne s’économise pas. Elle cultive au contraire l’abondance par la générosité.
C’est pour cela que sa trajectoire ignore les méandres des marchandages de toutes sortes dans quelque domaine que ce soit. Ses expressions sont claires et elle n’a pas de «tiroir à double fond».
Ainsi, la pureté du cœur est-elle l’une des qualités majeures que chacun de nous doit apprendre à cultiver. Si nous n’avons pas éliminé en nous le réflexe du «donnant-donnant», c’est-à-dire si une part de nous persiste à comptabiliser ses pensées et ses actes, il est temps de la débusquer et de la «laver» car nos bonnes résolutions cachent alors certainement encore une dose d’inconsciente hypocrisie.
Aimer, aider, offrir, ne se fait pas avec une calculatrice à la main comme pour «accumuler des mérites» ou se fabriquer un «bon karma».
De même, égrener un chapelet ou un mala ne signifie pas grand-chose si cela se réduit à être une action mécanique déconnectée de la dynamo du cœur.
L’âme qui sait rayonner, s’exprimer et s’offrir sans attendre quoi que ce soit en retour traduit davantage de merveilles que la récitation de quelques mots consacrés.
Apprendre à débrider notre cœur, voilà notre défi… si simple qu’il nous semble complexe.
DANIEL MEUROIS Daniel Meurois, Écrivain
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: @DanielMeurois
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
🌹 A n d r e e B o u l a y B l o g u e 🌹
Un blogue dédié à l’amour de soi

© 2019 – 2023 Andree Boulay Blogue – Tous droits réservés
ARCHIVES
RECHERCHER
🌹 A n d r e e B o u l a y B l o g u e 🌹
Un blogue dédié à l’amour de soi

© 2019 – 2023 Andree Boulay Blogue – Tous droits réservés
ARCHIVES
RECHERCHER
ARCHIVES
RECHERCHER