
Amis lecteurs,
En ces premiers jours d’automne, il m’est venu la soudaine envie de partager avec vous quelques lignes de l’ouvrage que je suis en train de finaliser et qui porte sur les enseignements dispensés à quelques-uns par le Disciple Jean, entre Éphèse et l’île de Patmos, en une terre grecque alors dominée par les Romains… Enseignements recueillis auprès de Jeshua, bien sûr, et qui, par de nombreux aspects abordent certains des grands mystères de notre univers et du devenir de notre humanité. L’Apocalypse y retrouve sa véritable signification, celle de Révélation… au pluriel.
Très fraternellement et affectueusement à vous…
Daniel Meurois
P.S. Celles et ceux qui sont allergiques aux petits textes très simples ne dépassant pas les 15-20 lignes peuvent dores et déjà s’abstenir. Le titre exact de ce livre vous sera bientôt communiqué… sans doute sortira-t-il des presses pour la fin de l’année… tout au moins pour nos amis québécois…
C’est Jean, Johannès en Grec, qui s’exprime ici…
« L’un et l’autre nous connaissions un endroit où il y avait de beaux et grands pins près du rivage. Ils avaient su marier leurs racines à des rochers qui eux-mêmes finissaient par plonger en pente douce jusqu’à la mer. Parfois, nous accostions là après quelques heures de pêche.
˗ «Tu sais, mon frère, ai-je fait dès que nous y fûmes parvenus, c’est voir «trop court» que de toujours associer une lutte ou un combat à une guerre… La sagesse peut parfois demander à ce qu’on y discerne plutôt la recherche d’un équilibre. Le blanc et le noir n’existent pas à l’état absolu. Ce que nous voyons comme blanc n’est jamais qu’un certain aspect de la Lumière et ce que nous disons noir ne traduit rien d’autre qu’un ennui de cette même Lumière. L’un et l’autre ne se font pas davantage la guerre que le jour et la nuit, même si l’un semble toujours chercher à l’emporter sur l’autre en le pourchassant.
C’est le Béni qui m’a fait toucher à ce mystère. Ainsi, l’essence de l’Équilibre est-elle en quête d’elle-même au sein de ce que ton peuple appelle le cosmos. C’est ce point de quête de l’Équilibre qu’évoquent les Paroles que tu as retranscrites et qui font notre «secret».
Notre cosmos n’est pas l’Univers des univers, mon frère… Il n’est qu’un espace, qu’une demeure parmi tant d’autres avec ses mondes internes qui se cherchent. Il n’est pas le Royaume propre au Logos car Celui-ci est infiniment plus vaste et n’a pas de Demeure fixe. Le Logos répand Son Onde dans d’innombrables cosmos et y génère ses Émanations…
Vois-tu ce que je cherche à te dire? Il est l’Expression de l’Ineffable, bien au-delà de ce que nous voyons des Cieux et de ce que nous réussissons à en concevoir.
Mais dis-moi, maintenant… Lorsque tu as la fièvre et que ton corps tremble, n’as-tu pas la sensation qu’un combat s’y livre? (1) Oui… et cela même si ton âme est en paix. Lorsque tu as peur ou que tu es visité par une colère, n’es-tu pas le lieu d’une lutte? Oui… même si tu es un homme de bien et que ton cœur est bon. Et ces vagues que tu vois là et qui attaquent ces rochers les jours de tempête pour en faire peu à peu le sable sur lequel tu aimes marcher… ne mènent-elles pas une sorte de combat, elles aussi? Oui… Enfin que dire de l’éternelle rencontre de l’eau et du feu? Faut-il que nous y voyions une guerre? Je te vois sourire… Leur confrontation est plutôt la recherche d’un équilibre. Et c’est une confrontation analogue qui existe parmi les cieux qui sont nôtres.
Alors vois-tu, mon frère, cet équilibre, l’Équilibre sacré, c’est lui qu’est venu nous enseigner le Logos en Jeshua par Sa Sagesse et Son Amour. Tout cela afin de nous emmener plus haut que le blanc et le noir. Le voyage est long, c’est vrai… mais la route est désormais tracée…
Quant à la Perfection dont tu as soif, elle ne se trouve pas plus au sein de ce cosmos qui palpite au-dessus de nos têtes que dans celui de nos corps. Cependant, si tu contemples et écoutes vraiment le Vivant, tu en découvriras une dans le fait de Consoler et de Prendre soin de tout ce qui est. Et cela, c’est la base d’une vraie Révélation que ni toi ni moi ne devons garder pour nous». »
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(1) Cela ne peut qu’évoquer la présence d’«anticorps» luttant contre des sortes de «virus» ou de «bactéries» au cœur même de l’organisme que représente notre cosmos. L’analogie pourrait être longuement approfondie.
© Daniel Meurois. À paraître prochainement aux Éditions Le Passe-Monde.
Daniel MEUROIS ➡ Facebook: Daniel Meurois, Écrivain ➡ Site web: danielmeurois.com
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: @DanielMeurois
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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