Extraits de
Éditions Prosveta (1989)
La voie du silence
Malgré la souffrance, il n’y a pas d’autres voies que d’entrer dans ce ressenti douloureux, peu importe ce qui le déclanche. Et cette souffrance amène quelque chose en nous à se dissoudre, à mourir, à capituler. C’est le chemin qui mène à la dissolution de l’illusion du moi séparé.
Tout cela est une crise que nous vivons chacun en nous-même. C’est comme la douleur d’un enfantement spirituel qui s’est préparé toute notre vie et qui nous mène à cela. Peu à peu, souvent parce qu’on est fatigué et au bout du rouleau, quelque chose se relâche et décroche.
Mais en même temps, à mesure que la pression monte, que la souffrance émerge, dans ce relâchement la lumière devient plus forte, la capitulation plus facile, les résistances lâchent, et plus nous émergeons dans notre nature essentielle. En réalité nous passons au tamis.
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© Omraam Mikhaël Aïvanhov | Fraternité Blanche Universelle
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blogue. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
Andree Boulay Blogue 
Il fut un temps, dans les années 90, où j’ai beaucoup travaillé sur les ouvrages d’ Omraam Mikhaël Aïvanhov…on me disait : ouais c’est une secte ! Les autres en pensent ce qu’ils veulent mais moi cela m’a été bien utile ! En effet, dans mes études sur la Tradition (hors de toute philosophie, école ou religions), j’ai trouvé ses ouvrages très clairs et même fondamentaux sur certains sujets. Par contre je n’ai pas réussi à pénétrer dans les dires de son Maître Peter Deunov et j’ai laissé de côté ceux de ces élèves à tendance nouvelageuse…
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Tout à fait d’accord. Durant la même période, certains des enseignements de OMA (pas tous, car je le trouve trop souvent moralisateur) ont été significatifs pour moi. Comme vous, les enseignements de Peter Deunov ne m’ont jamais vraiment « parlés » et la tendance nouvelageuse, comme vous l’appelez, me laisse plutôt indifférente. Au plaisir, Andree
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