
Extraits de « Les 108 Paroles du Christ »
© Daniel Meurois | Éditions Le Passe-Monde
«CE CLOU QUE J’AI ENFONCÉ»
Ami(e)s qui me lisez,
Prenons un peu d’altitude tout en demeurant bien incarnés, si vous le voulez bien.
Voici quelques lignes extraites de « Ce clou que j’ai enfoncé » suivies de leur commentaire tel que pouvez le trouver dans « Les 108 Paroles du Christ ». Sans doute pourrait-on en tirer une réflexion pour aujourd’hui…
Daniel Meurois
« Celui qui ne s’interroge pas sommeille, celui qui ne contemple que le mur de la maison d’en face tourne en rond dans son propre champ. Alors (…) sois heureux de tes faux-pas comme tu peux l’être de tes plus beaux élans, même si ceux-ci ont avorté… car la Vie se tisse à la façon d’une étoffe. Si l’horizontal ne se marie pas avec le vertical, rien ne naît ! »
Tout concourt à nous faire grandir… hormis l’inaction.
C’est de cette façon que l’on pourrait résumer ces quelques phrases. Par ailleurs, c’est la tiédeur qui y est aussi dénoncée comme une entrave majeure à l’éveil de la conscience. Dans notre monde dont peu sont satisfaits et où beaucoup se plaignent de leurs conditions et difficultés, il est toujours étonnant de constater que rares sont ceux qui font de vrais mouvements. C’était déjà vrai il y a des millénaires, cela l’est encore aujourd’hui.
Se tromper dans ses mouvements, dans ses élans, peut- être même dans ses choix ? « Et alors ? nous dit en substance le Christ… Vivez ! » C’est en marchant que l’on trouve la force de Marcher ; autrement dit, plus on ose s’impliquer dans une dynamique de croissance, plus on s’y affirme sans crainte d’une éventuelle déception ou du regard critique d’autrui, plus notre âme reprend ses droits et nous communique son enthousiasme.
Lorsque nous permettons au Divin d’opérer Sa révolution en nous à travers les mille choses de la vie, Sa Présence en nous augmente de façon exponentielle. Notre force s’accroît.
En mettant l’accent sur tout cela, c’est aussi un hymne à la vie incarnée qu’entonne pour nous le Christ… Contrairement aux idées reçues, Celui-ci accordait beaucoup de prix au travail de l’être humain dans la Matière. L’exemple du métier à tisser est très significatif à ce propos. Tout ce qui constitue les actes et le vécu quotidien, donc l’horizontalité, est analogue aux « fils de trame » d’un tel métier. Quant aux « fils de chaîne », ceux que l’on tend à la verticale, ils illustrent parfaitement la connexion avec le Divin – sous son aspect Père-Mère – dont chacun a besoin. Ce qui résulte de leurs rencontres, de leurs croisements donne le tissu, notre façon d’être au monde. À nous d’y inscrire nos motifs… »
© Daniel MEUROIS | Daniel Meurois, Écrivain CELUI QUI NE S'INTERROGE PAS SOMMEILLE
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: @DanielMeurois
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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