Certaines femmes, qui n’en font pas une question de genre, en font profession d’âme. Elles se relient et communient à la vie sans jamais s’y opposer ou vouloir en devenir maître.
Elles préfèrent se confondre avec elle, trouver leur source et leur cours dans leur nature sensuelle, fertile et généreuse. Jamais leur divinité ne leur tombe du ciel, elle paraît plutôt leur venir de la terre. Elles obéissent davantage à leur instinct qu’à la loi des hommes et s’adonnent mille fois plus à l’amour qu’à la guerre.
C’est sans doute bien parce que leur liberté fait peur aux hommes qu’ils les voilent, les violent, les excisent, ou les brûlent sur les bûchers, tant qu’ils n’ont pas compris qu’elles sentent et pensent du cœur pour servir la vie et non pour l’asservir.
Hommes, aimez ces femmes comme on s’abreuve à une source. Laissez-vous posséder par leur sensualité, ressentez l’émotion comme elle est l’aiguille de leur boussole. Elles sont un feu que vous devez nourrir pour vous éclairer et vous chauffer. Elles sont cette immanente transcendance qui se révèlent et vous révèlent dans la nuit du non-amour.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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