
Amis lecteurs,
En ce début de période estivale, celles et ceux d’entre nous qui ont la chance pouvoir espérer changer de décor vont s’efforcer de mettre entre parenthèses leurs craintes et crispations quotidiennes liées aux difficultés que nous traversons mondialement. C’est compréhensible et logique. Nous avons tous grand besoin d’un peu plus de sérénité.
Mais, reconnaissons-le, une mise entre parenthèses n’est pas un dépassement car chacun sait très bien que, tôt ou tard, il est rattrapé par ses peurs. Cet état de fait est-il pour autant une fatalité? Il y a des mécanismes que l’on peut décoder…
Je vous invite à y réfléchir avec ce bref extrait du «Testament des trois Marie» suivi de son commentaire.
«L’angoisse et la peur sont poisseuses […] Contrôle ton imagination et vis l’instant présent tout en acceptant la justesse insondable de ce qui surgit et contre lequel rien en toi ne peut quoi que ce soit. Sache qu’il n’y a pas de fatalité mais qu’il existe des nécessités.»
(Le Testament des trois Marie – p. 237)
« La peur face aux épreuves… L’attitude de la grande majorité d’entre nous d’un bout à l’autre de leur vie est à coup sûr conditionnée par la foule des images et des émotions que suggèrent ces quelques mots.
En vérité, bien peu d’êtres humains naviguent sereinement dans l’océan des incertitudes dont toute existence est faite.
La cause de tout cela réside au cœur-même de chacun de nous, dans notre capacité à imaginer… «vers le bas» plutôt que «vers le haut».
Le problème est en effet que nous sommes trop souvent conditionnés à nous servir de notre imagination dans un contexte d’adversité et que nous l’orientons essentiellement vers la probabilité d’un danger. Cette propension qu’ont la plupart d’entre nous à «craindre» plutôt qu’à «espérer quelque chose» génère une sorte de courant d’énergie qu’on appelle «aura».
Peu savent qu’une aura ne fait pas que se projeter en périphérie de l’être; elle agit tel un aimant, c’est-à-dire qu’elle attire à elle ce qui lui ressemble vibratoirement.
Ainsi pensons le bonheur, fabriquons-en l’image intérieure et nous en attirerons les circonstances… Inversement, imaginons des évènements funestes, plantons de ce fait en nous les graines de l’angoisse… et nous verrons bientôt apparaître «malchances» et déceptions…
Apprendre à «piloter» sa propre vie c’est comprendre les principes de ce moteur d’autocréation mis en place par l’Intelligence divine. C’est ce même moteur qui, d’existence en existence, tisse peu à peu ce qu’on nomme le karma…
Ce que nous voyons comme de la fatalité n’est en fait que le retour, par aimantation, de ce que nous avons émis en d’autres temps et qu’il est nécessaire que nous traversions pour imaginer et reconstruire notre vie autrement. »
© Daniel Meurois – «Les 108 Paroles du Christ» – Éditions Le Passe-Monde
Daniel MEUROIS ➡ Facebook: Daniel Meurois, Écrivain ➡ Site web: danielmeurois.com
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: @DanielMeurois
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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