Il n’est personne de plus étranger à l’homme que lui-même. S’il veut connaître cet étranger, qu’il rentre dans son cabinet de travail et ferme la porte. Il y trouvera son plus dangereux ennemi et y apprendra à le maîtriser. Il y trouvera aussi son véritable moi, son ami le plus fidèle, son maître le plus sage, son conseiller le plus sûr… encore lui-même.
C’est l’autel où brûle la flamme éternelle de Dieu, la source de toute bonté, de toute force, de toute puissance. Il saura que Dieu réside au plus profond du silence. C’est là aussi, au fond de soi, que réside le Saint des Saints, où tout désir de l’homme existe dans la Pensée de Dieu et se confond donc avec un désir de Dieu.
On y sent, on y connaît l’intimité des relations entre Dieu et l’homme, entre le Père et le Fils, entre l’esprit et le corps. Et l’on y voit que la dualité apparente n’existe que dans la conscience humaine, car, en réalité, il y a unité.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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