« À toi, qui ne sais plus quel chemin prendre. À tous les confus, les déconcertés, les égarés. À ceux qui sont perdus, à ceux qui se sentent désorientés, à tous les voyageurs de l’âme.
Je vous envoie mon invitation. Pour continuer à errer.
Entre les vallées et les montagnes de votre cœur, dans les abîmes de votre intériorité, dans les bois les plus épais de vos émotions.
Ne vous arrêtez pas, ne bloquez pas le flux de la vie, ne renoncez pas à partir.
Seulement parce que tout est toujours pareil, que l’immobilité règne et que la paresse est endémique, vous ne pouvez plus vivre… Continuez le voyage.
Même si aux yeux des inertes vous paraissez fou, instable, malade. Allez-y. Aussi loin que possible. Dans votre intériorité. Et profitez de votre indécision, de vos doutes, de vos insécurités. Ce sont les portes infinies de votre existence.
Pensez à la tristesse de n’avoir qu’une seule ouverture disponible. Ou même pas une.
Nous sommes nés pour ouvrir chacune de nos cellules. Et pour trouver, dans chacune, une myriade d’étoiles. Capable d’éclairer le chemin vers le firmament.
Souvenez-vous: c’est du chaos que le cosmos est né. Rien ne naît de l’immobilité. »
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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