Vous devez comprendre, mes chers amis, que la joie n’est pas un but, pas un sentiment, ni même le contraire du désespoir. Elle est la volonté de saisir le désespoir comme un nouveau-né, de respirer en lui et de lui offrir un espace dans votre vaste cœur.
La joie est le contenant, et n’est jamais contenue. La joie est ce sentiment primordial d’être vivant, indestructible, aligné avec l’Univers. La joie est immuable, inamovible, plus proche que votre prochain souffle.
La joie ne peut être volée, la joie ne peut être acquise. La joie peut accueillir dans son cœur éternel tous les chagrins, les frustrations, les peurs et les rêves brisés du monde.
La joie était là lorsque vous avez fait votre premier pas, lorsque vous êtes tombé par terre, que vous avez pleuré, et que vous vous êtes relevé, de nouveau prêt pour la prochaine aventure.
La joie est comme le ciel.
La joie n’a pas d’opposé.
La joie, c’est vous, dénudés, et magnifiques dans votre solitude.
Ne cherchez pas la joie; rappelez-vous simplement que vous êtes en vie aujourd’hui.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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