Elle met fin à la guerre entre la lumière et l’obscurité.
Il n’y a plus de conflit en elle. Grâce au ciel, elle n’a plus rien à combattre.
La longue et vaine bataille de la lumière et de l’obscurité l’a épuisée. Elle les accepte toutes deux comme des dons inhérents à l’univers. Elle ne se bat plus en duel avec eux. La lumière ne souhaite plus « réformer » son obscurité, et son obscurité ne veut plus « contrôler » la lumière. Elle a cessé de jouer au jeu de la dualité.
Elle n’est non plus dupe de l’enseignement selon lequel il y a quelque chose qui ne va pas en elle et qu’il faut réparer, ni du travail à faire avant d’être enfin « bonne ». Sa divinité réside dans le fait d’embrasser pleinement son humanité. Toute son humanité. Où serait donc l’imperfection?
Le mythe selon lequel un jour la lumière vaincra l’obscurité et la paix régnera l’aurait maintenue épuisée et emprisonnée. Ainsi que sous le joug de ceux qui lui ont fait croire à ce mythe. Elle décide d’être en paix maintenant! Même la lumière et l’obscurité en elle sont en paix l’une avec l’autre. La partie est terminée.
Ce qu’elle expérimente en cessant cette guerre, c’est une tranquillité et une paix incroyables. Dieu merci, elle se détend chaque jour dans sa propre sagesse.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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