Nous sommes entrés dans le noir, avons été absorbé par cet écran qui s’illumine, et avons oublié que tout ceci n’est qu’un film. La plupart d’entre nous ne le réalisera qu’au moment du générique de fin, le défilement de noms d’aimables figurants.
Mais, de tout temps, certains spectateurs interpelés par les incohérences du film, s’interrogent et commencent à détourner les yeux de l’écran, en réalisant la nature illusoire de cette projection.
Ceux-là, prennent alors le risque de poser la main sur le bras de leurs voisins absorbés et crédules, et de leur murmurer la supercherie.
C’est ce murmure permanent que nous entendons à plusieurs occasions étranges, qui prend la forme de « curieux hasards », étonnantes coïncidences que sont les synchronicités.
Dès que nous l’écoutons, nous commençons à détourner le regard de l’écran, et à le voir pour ce qu’il est: une courte projection momentanée sur un écran de matière déchirable, qui prendra fin tout bientôt.
Posons notre main sur le bras du voisin. Déchirons le voile.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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