« Ne dis pas « Je sais ce que tu vis », si tu n’es pas capable de t’asseoir avec la douleur d’un autre comme si c’était la tienne.
Ne me donne pas ton avis lorsque mon esprit est confus, le Silence peut être plus puissant que bien des mots.
Ne me demande pas de pardonner avant même que je ne puisse voir sur quoi mes blessures attirent doucement mon attention. Je n’ai pas besoin de pression supplémentaire, mais d’espace pour pouvoir contenir tout ça.
Ne me fais pas un sermon pour m’expliquer que tout est reflet si tu ne peux pas être ce miroir vide pendant que tu parles. Ma capacité d’auto-critique et mon sentiment de culpabilité t’en remercient.
L’amour ne juge pas, ne brusque pas, n’analyse pas.
Le silence de l’amour écoute, comprend et consent.
La compassion sait combien j’ai besoin d’espace pour approfondir, faire des erreurs, m’énerver avant même de pouvoir lâcher prise, oublier et pardonner.
Ne suppose pas savoir combien il est facile pour les autres de surmonter quelque chose que tu as déjà traversé. Il se peut que tu découvres que tu as aussi besoin d’éclairer quelque chose à travers eux.
Humilité et bonté sont des signes d’une profonde sagesse.
Je t’aime. Merci. »
CATERINA MAGGI https://www.shakticaterinamaggi.com
SOURCE DE CETTE PUBLICATION: @divinepagaille
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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