La pluie tombe sur votre tête, et vous n’avez apporté aucune protection. Exposé, à vif, vous devez faire le prochain pas. Votre cœur se brise, se déchire, se rompt, devient sanglant, pour révéler un courage palpitant que vous aviez oublié dans votre quête de réconfort, et une bonté que seuls ceux qui ont souffert peuvent comprendre.
Et puis, cette étrange histoire d’amour avec l’incertitude. L’immensité vertigineuse de la liberté. Un picotement dans les tripes que vous avez pris pour une pathologie. Le chemin qui ne mène qu’à l’inconnu, tous les panneaux indicateurs disparus.
Pas un chemin pour les âmes sensibles, non, mais pour celles et ceux qui ne peuvent plus mentir et qui n’ont pas d’autre choix que de vivre.
Si un tel projet vous fait pleurer, s’il vous effraie, s’il vous amène à la limite de votre identité et vous donne envie de vomir quand vous y pensez… eh bien, c’est peut-être votre chemin.
Chères lectrices, chers lecteurs, Prenez avis que ce texte a été publié pour l’intérêt informatif qu’il représente en lien avec le thème abordé sur ce blog. Bien que je sois vigilante quant à la crédibilité de sa source, votre discernement doit prévaloir en tout temps. Utilisez-le. Votre hôtesse, Andree Boulay.
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